Wednesday, June 18, 2008
Bye
Posted by
Shadow
at
8:00 AM
1 comments
Categories Edito
Wednesday, January 23, 2008
L'Economie Mondiale voit Rouge ?
Non, il ne s'agit pas ici d'un post pour traiter des récentes turbulences qui ont sécoué les marchés financiers aux situations fragiles. Il ne s'agit pas non plus de faire de la political economy of energy pour étudier les futures tendances du marché pétrolier. Ce post ne servira pas non plus à disserter sur ce que les grands de ce monde discuteront à Davos au World Economic Forum. (Une remarque : des videos sur certaines sessions de la rencontre peuvent être vues on line). En fait, il s'agit plutôt ici de se demander si les institutions de Bretton Woods, censées jouer les premiers rôles au niveau de l'économie mondiale, sont en train de s'hétérodoxiser ?- le Monetarism of the Third School of Chicago (des Milton Friedman, Allan Meltzer,...).
- la Supply-side Economics (des Arthur Laffer, Jack Kemp, ... ) ;
- la New Classical Macroeconomics (des Robert Barro, Robert Lucas, Edward Prescott, Finn Kydland, ...) ;
- la New Institutional Economics (des Ronald Coase, Douglas North, Olivier Williamson, ...) ;
- la New Political Economy (des Anne Krueger, ...) ;
- et la New Keynesian Economics (des Joseph Stiglitz, Lawrence Summers, Stanley Fischer, ...).
L'existence réelle d'une orthodoxie ne tient pas tant au contenu du discours (qui peut-être variable selon les nécessités contingentes - politiques - de l'époque) mais à la capacité d'un groupe social à maîtriser le mode de production théorique et la reproduction de la catégorie de penseurs (des disciples). Il est donc exclu de pouvoir parler d'orthodoxie ou d'hétérodoxie dans l'abstraction des rapports sociaux . C'est même à la capacité à reconnaître l'existence ou à rendre compte de ces rapports sociaux dans la théorie que l'on va fondamentalement distinguer l'orthodoxe et l'hétérodoxe. C'est à notre sens le point fondamental de démarcations entre les deux catégories et en même temps le critère unificateur des hétérodoxies.
- la Radical Political Economy ou Neo-Marxism (des Paul Baran, Samir Amin, Andre Franck, ...) ;
- la French Regulation School (des Michel Aglietta, Robert Boyer, ...) ;
- le Post-keynesianism (des John Galbraith, William Vickrey, Paul Davidson, Marc Lavoie, ...) ;
- ...
Posted by
Shadow
at
9:30 PM
4
comments
Categories Feelings
Saturday, January 19, 2008
Dictatorship for Dummies
ADDED BY SHADOW AT : Monday, January 21, 2008 - 8:00 AM
Article 100. En cas d’urgence ou de catastrophes, le Président de la République peut prendre par ordonnance des mesures relevant du domaine de la loi.
- Une disposition constitutionnelle : à savoir l'Article 60 sur la situation d'exception (situation d'urgence, état de nécessité, loi martiale) permet déjà d'étendre les pouvoirs de l'exécutif en cas de catastrophes, de risques, d'accidents, ... Donc, à moins que les constitutionnalistes qui ont rédigé le texte revisé de la Constitution ne relisent même pas ce qu'ils ont pondu, il n'y a plus besoin d'écrire un autre article sur les risques, les cataclysmes, les accidents, ... Ce qui signifie que dans l'esprit de ces rédacteurs, l'Article 100 a une portée plus globale.
- En droit malagasy, le terme cas d'urgence peut très bien prendre le sens le plus courant à savoir le sens relatif à la vitesse, à la rapidité, aux contraintes temporelles. A titre d'illustration, l'Article 4 de l'Ordonnance N°62-041 du 19 septembre 1962 relative aux dispositions générales de droit interne et de droit international privé est clair à ce sujet : En cas d'urgence déclarée par le Président de la République et sans préjudice de sa publication au Journal officiel, la loi devient obligatoire dans toute l'étendue du territoire de la République dès son affichage ... Voilà pourquoi, un grand nombre de textes réglementaires et législatifs, et cela jusqu'à maintenant encore, pour des motifs de gain de temps (alors même qu'aucun risque ne guette ni aucune catastrophe observée) contiennent une disposition dans le genre : En raison de l'urgence, et conformément aux dispositions de l'article 4 de l'Ordonnance N° 62-041 du 19 septembre 1962 relative aux dispositions générales de droit interne et de droit international privé, la présente loi entre immédiatement en vigueur dès qu'elle aura reçu une publication par émission radiodiffusée et télévisée ou affichage indépendamment de son insertion au Journal Officiel de la République.
- Il faut savoir que les techniques d'interpretation de la Constitution utilisées par la Haute Cour Constitutionnelle lorsqu'elle procède à un contrôle de conformité à la Constitution sont multiples et laissent même apparaître l'absence d'une véritable méthodologie claire : des fois elle fait appel à la jurisprudence constante, des fois elle invoque une doctrine étrangère, ... (une situation d'autant plus brouillone que les travaux préparatoires des Avis, Décisions et Arrêts sont difficilement accessibles). Cela dit, le juge constitutionnel devrait normalement prioriser parmi ses principes directeurs que les dispositions constitutionnelles claires et précises ne donnent pas lieu à interprétation, et dans le cas échéant ces dispositions sont d'interprétation stricte. A maintes reprises la juridiction constitutionnelle a affirmé elle-même ces principes [cf. par exemples les Avis N°01-HCC/AV du 16 mai 2007 et Avis N°03-HCC/AV du 26 septembre 2003]. Pour le cas de l'Article 100, le terme utilisé de cas d'urgence n'est rattaché ni à une quelconque théorie ni à une circonstance particulière. Aucune définion juridique exclusive n'est imposée. A partir de là, il suffit d'invoquer un caractère urgent pour qu'une ordonnance soit conforme à la Constitution.
ORDONNANCE N°20XX-XX
portant loi relative à l'urgence d'accélerer la mise en oeuvre du GASY ACTION PLAN en vue du développement rapide et durable de Madagascar et en application de l'article 100 de la Constitution.
Le Président de la République :
- Vu la Constitution,
- Le Conseil de Ministres entendu en sa réunion à la date du XX
- Et après déclaration de conformité à la Constitution par la Haute Cour Constitutionnelle suivant sa décision N° XX-HCC/D3 en date du XX
ORDONNE :
TITRE PREMIER : DES DISPOSITIONS GENERALES
Article premier : La situation de pauvreté dans laquelle se trouve la majorité des Malagasy est insupportable qu'y rémédier par tous les moyens constitue un cas d'urgence ; c'est pour cela que Madagascar a tracé sa voie pour le développement rapide et durable à travers le GASY ACTION PLAN, dénommé ci-après GAP.
Le GAP est bien apprécié ; partout dans le monde, les partenaires de Madagascar sont impressionnés.
Mais il faut accélerer la mise en oeuvre du GAP et adopter une nouvelle approche du développement qui aurait des retombées directes sur la vie de la population.
Il faudra dorénavant :
- annihiler toute entrave à l'accélération de la mise en oeuvre du GAP ;
- anéantir les conditions de remise en cause des choix, à travers le GAP, des autorités de l'Etat qui connaissent mieux que quiconque ce qui est bien pour le peuple Malagasy ;
- éviter tout acte ébranlant la confiance de la population envers les institutions et les autorités de l'Etat ;
- effacer les doutes et tergiversations dans l'esprit de la population facilement distraite par la recherche de plaisir.
Article 2 : En application de l'Article 100 de la Constitution, certaines dispositions de la loi seront modifiées, suspendues voire abrogées par la présente Ordonnance.
Conformément à l'Article 89 de la Constitution, il s'agira essentiellement des dispositions sur les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux individus, associations, partis politiques et à tout autre groupement pour l'exercice des droits et des libertés ainsi que leurs devoirs et obligations ; sur la Banque Centrale et le régime d'émission de la monnaie ; sur le régime juridique de la propriété, des droits réels, des obligations civiles et commerciales et les conditions dans lesquelles les biens peuvent faire l'objet d'expropriation ou de réquisition pour cause de nécessité publique ou de transfert de propriété à l'Etat ; sur l'organisation, le fonctionnement et la fiscalité des Collectivités territoriales décentralisées.
Tel est l'objet de la présente Ordonnance.
TITRE II : DES DROITS ET DES DEVOIRS CIVILS
Article 3 : Les libertés d'opinion et d'expression, de communication, de presse, d'association, de réunion, de circulation, de conscience et de religion sont garanties à tous ceux qui font la promotion du GAP.
Sont toutefois interdits les faits, les actes, les manifestations qui critiquent le GAP ou qui remettent en cause les choix sans faille des autorités pour le bien du peuple Malagasy dans le cadre du GAP.
Sont également interdits les faits, les actes, les manifestations qui ébranlent la confiance de la population envers les institutions et les autorités de l'Etat qui sont dépositaires de la réussite du GAP.
Article 4 : Toute personne a le droit de constituer librement des associations avec d'autres sous réserve de contribuer à la sensibilisation pour le GAP.
Un Front National pour la Défense et la Promotion du GAP ou FNDP-GAP composé d'associations et des partis politiques sera instauré pour garantir la sérennité politique de la mise en oeuvre du GAP.
Un décret pris en Conseil de Ministres déterminera les modalités de création, d'attribution des missions, d'organisation, de fonctionnement du FNDP-GAP ainsi que de toute autre question relative à ses membres.
Sont dorénavant suspendues les associations, les partis politiques qui ne sont pas adhérants du FNDP-GAP.
L'aboutissement des démarches d'adhésion au FNDP-GAP lèvera les mesures administratives de suspension.
Sont dorénavant interdits les associations, les partis politiques qui promeuvent une idéologie allant à l'encontre du GAP.
Article 5 : Toute activité universitaire devrait être motivée par l'optimisation des engagements définis par les autorités dans le cadre du GAP.
Les universitaires dont les travaux sont suceptibles de faire douter de la qualité et de la réussite assurée du GAP seront considérés comme ayant commis d'acte attentatoire à la liberté individuelle d'adhérer au GAP et sont donc passibles des peines prévues par l'Article 114 du Code Pénal.
Ces peines sont cumulables avec celles prévues en cas de menaces contre l'ordre public.
Article 6 : Sont interdits les manifestations culturelles, les spéctacles qui font perdre des temps de travail à la population, sauf ceux qui se déroulent au cours de périodes arrêtées par les autorités de l'Etat.
Les périodes de manifestations culturelles seront déterminées par décret pris en Conseil de Gouvernement et ce après avis du Secrétariat du GAP qui aura idenfié techniquement l'opportunité de ces périodes.
TITRE III : DE L'ENCADREMENT DES ACTIVITES ECONOMIQUES ET FINANCIERES
Article 7 : Les dispositions de l'Article 28 de la Loi N°94-004 du 10 juin 1994 portant Statuts de la Banque Centrale de Madagascar, modifiée par la Loi N°N° 2005-036 du 20 février 2006 sont modifiées et remplacées par celles qui suivent :
Article 8 : Les dispositions de l'Article 73 de la Loi N°94-004 du 10 juin 1994 portant Statuts de la Banque Centrale de Madagascar, modifiée par la Loi N°N° 2005-036 du 20 février 2006 sont complétées par le paragraphe suivant :Art. 28 (nouveau) : Le total des avances consenties à l' Etat en vertu des articles 24 et 27 alinéa 3, ne peut pas dépasser quinze pour cent des recettes ordinaires de l' Etat constatées au cours du précédent exercice budgétaire sur la base de documents officiels établis par le Trésor.
Dans les circonstances exceptionnelles, la limite de quinze pour cent ci-dessus peut être portée à vingt pour cent par voie législatives, sur rapport spécial de la Banque Centrale pour une durée maximum de six mois.
Pour toute avance consentie à l'Etat visant à financer une opération du GAP, les limites de quinze pour cent et de vingt pour cent ci-dessus n'ont pas à être appliquées et ce sans aucune limitation de durée.
Article 9 : L'Etat peut exproprier les personnes physiques et morales si les biens en question peuvent contribuer à la réalisation du GAP.Les délibérations du Conseil peuvent être librement modifiées en Conseil de Ministres selon les besoins identifiés par les engagements du GAP.
Un décret pris en Conseil de Ministres fixera les conditions de notification et d'application de ces expropriations pour le GAP.
TITRE IV : DES EFFORTS DES COLLECTIVITES TERRITORIALES DECENTRALISEES
Article 10 : Avant son entrée en fonction, le chef de l'organe exécutif d'une collectivité territoriale décentralisée : le Chef de Région ou le Maire prête le serment suivant, en public et en présence d'une autorité mandatée par le FNDP-GAP :
Le mandat régional ou communal commence à partir du jour de la prestation de serment.Eto anatrehan'Andriamanitra Andriananahary sy ny Firenena ary ny Vahoaka, mianiana aho fa hanantanteraka an-tsakany sy an-davany ary amim-pahamarinana ny andraikitra lehibe maha-ben'ity vondrombahoaka itsinjaram-pahefana ity ahy. Mianiana aho fa hampiasa ny fahefana natolotra ahy. Mianiana aho fa hanaja sy hitandrina toy ny anakandriamaso ny Lalàmpanorenana sy ny lalàm-panjakana, hikatsaka hatrany ny soa ho an'ny Vahoaka amin'ny fampifandraisana tsy misy tomika ny teti-pivoaran'ity vondrombahoaka itsinjaram-pahefana ity amin'ny GAP.
Article 11 : Le Ministre de l'Intérieur, après rapport du Réprésentant de l'Etat territorialement compétent : le Préfet ou le Chef du District ou le Préfet de Police pour la Commune Urbaine d'Antananarivo, peut remplacer le chef de l'organe exécutif d'une collectivité territoriale décentralisée : le Chef de Région ou le Maire par une Délégation Spéciale, en cas de faits ou d'actes de ce chef de l'organe exécutif allant à l'encontre des actions prévues par le GAP.
Le Préfet ou le Chef du District ou le Préfet de Police pour la Commune Urbaine d'Antananarivo pourrait solliciter les avis des Chefs fokontany qui ont voix consultative.
Article 12 : Nonobstant les dispositions des Lois des Finances, le Ministre chargé des finances et du budget, sur une suggestion du Secrétariat du GAP, peut à tout moment, modifier les proportions de recettes devant revenir aux collectivités territoriales, pour l'équilibre financier du GAP.
TITRE V : DES DISPOSITIONS DIVERSES
Article 13 : Sont et demeurent abrogées toutes dispositions contraires à celles de la présente Ordonnance.
Article 14 : A la fin de la période d'application du GAP, une mise à jour du GAP ou une production de GAP de nouvelles générations pérénniseront de facto les dispositions contenues dans la présente Ordonnance.
Article 15 : En raison de l'urgence et conformément aux dispositions de l'Article 4 de l'Ordonnance N°62-041 du 19 septembre 1962 relative aux dispositions générales de droit interne et de droit international privé, la présente Ordonnance entre immédiatement en vigueur dès qu'elle aura reçu une publication par émission radiodiffusée et télévisée ou par affichage, indépendamment de son insertion au Journal Officiel.
Fait à Antananarivo, le XX
Nom du Président
==========
Attention, le modèle d'ordonnance présenté ci-dessus relève d'une politique fiction. Toute ressemblance avec des faits existants, ... n'est que fortuite et est le fruit du hasard.
Posted by
Shadow
at
10:00 PM
4
comments
Categories Feelings
Thursday, January 17, 2008
Alefa lesy ry Andry a !
Ho an'izay mandalo @ sehatra etoana dia mahita fa tsy mbola nisy resaka teto fanohanana firehana politika manokana. Raha jerena maimaika ny lohaten'ity lahatsorara ity dia toa miendrika fanohanana an'ingahy Rajoelina, Ben'ny tanànan'Antananarivo vaovao. Dia mety ho lasa ny sain'ny sasany hoe Tgv angaha ny mpanoratra eto sa mijapy lamasinina ka lasa mirona any. Manana ny fomba fijeriny ny politika ny mpanoratra ary aleo tsorina fa tsy mirona any @ tariky ny Tgv akory. Raha ny marina dia ny lahatsoratr'ingahy Heriniaina Eugène, mitondra ny lohateny hoe Ny hoavin'i Andry Tgv no isan'ny niteraka izao aingam-panahy izao. Mety ho azo natao ny namaly ny resaka mivantana tany @ sehatr'ingahy Heriniaina Eugène. Saingy aleo eto no velabelarina ny tian-kambara eny fa na dia noho ny fananana fahalalahana bebe fotsiny aza, satria fahazarana eto ihany ny manao resa-be.Saika maneran-tany ny lalao politika dia tsy fifanomezana vatomamy akory, misy mihitsy aza ny fihetsika izay tena maherivaika. Noho izany izay mirotsaka @ sehatry ny politika dia mivonona @ izay. Fijery bonaika ihany ny mifanohitra @ izay. Fa izao koa : mbola bonaika lavitra ny fisainana hoe satria izay no zava-misy dia aleo izany manaiky lembenana milefatra eo @ setrasetran-dry zalahy. Mpanao politika no resahana eto an, fa tsy hoe olon-tsotra akory. Izany hoe rehefa mieritreritra ny hanao politika dia mivonona ny hiady fa tsy hoe andeha hilalao akory. Ny teny hoe ady eto dia tsy sanatria akory ampifandraisina @ fitànana basy aman-tafondro na @ fanaovana ady an-trano. Fa kosa aleo raisina @ dikany mihaja : ady ho @ firaisankinan'ny fianakaviana politika misy ny tena, ary indrindra ho @ fampandresena ny hevitra tiana hitondrana ny tany sy ny raharaham-panjakana.Efa manomboka sahady mantsy izao ny filazana fa betsaka ny manembatsembana ny tetikasany. Mety ho marina izany saingy ny fianteherana sy ny fampisehoana izany dia fialantsiny avy hatrany hoe raha tsy vitany ny asany dia vokatry ny sembantsembana ataon'ny hafa. Mandritra ny fotoana hipetrahany eo amin'ny fitondrana izany dia tsy maintsy hisy an'izay fitarainana izay hatrany, satria tsy maintsy hisy hatrany ny mpanembantsembana, na avy ao anatiny na ny avy any ivelany. Tsy vao izy no mpanao politika nisy mpanembantsembana ary efa fantany rahateo fa tsy maintsy ho izany no hitranga.
Vokatr'izany dia mety tsy handroso mihitsy Antananarivo. Efa niantso ny rehetra hanampy azy i Andry TGV. Mety hisy hanohana ny antsony ny olona. Saingy hahavita inona anefa izany? Ary raha manohana ny antso ataony ny olona ka misy mpanembatsembana indray? Ary inona ny fanamby hasehony hoe azo itokisana izy amin'ireo fanampiana izay ataon'ny tsirairay?Rehefa tsy mandroso Antananarivo dia ny ben'ny tanàna no ho halan'ny olona amin'ny fifidianana manaraka. Eo no mety hahasimba ny hoavy politikan'i Andry TGV.
Posted by
Shadow
at
9:00 PM
1 comments
Categories Fa Gasy Aho, Feelings
Sunday, December 30, 2007
Sometimes I Just Freak
Sometimes I Just Freak
New Year's Eve
Posted by
Shadow
at
8:00 PM
0
comments
Monday, December 24, 2007
De la Prédictibilité du Tgv Show
--------------------
ADDED BY SHADOW AT : Sunday, December 30, 2007 - 8:00 PM
--------------------
Rarement une consultation populaire a autant déchaîné la passion dans l'histoire de Madagascar que les municipales de ce 12.12.07. Et incontestablement, le rendez-vous électoral à Antananarivo-Renivohitra a cristallisé les attentions de la majorité des observateurs [illustrations : 1, 2, 3, 4 ; 5], occultant sensiblement ce qui s'est passé dans les 1,500 et quelques autres circonscriptions électorales. Selon les commentaires des uns [exemple], la victoire de Tgv est un vote sanction à l'encontre du parti au pouvoir Tim. Mais une sanction pour quelle raison, surtout quand nous voyons qu'en l'espace d'un an, le Tim a fait élire à la magistrature suprême son candidat dès le premier tour, a fait passer au référendum des amendements constitutionnels avec un taux d'acceptation de plus de 75% et n'a laissé aux législatives que des miettes à l'opposition (sans compter les indépendants d'obédiance Tim,
le parti présidentiel a obtenu 105 sièges sur les 127 que compte l'hemicycle, dont surtout la totalité des 12 sièges de la Capitale). Quant aux réflexions des autres, cette victoire est le fait non pas d'un choix de raison mais de coeur et relève d'un vote kamikaze et donc suicidaire à l'égard des actions de développement qui auraient été engagées auparavant. Que dire de ceux, comme l'un [cf. ici] des zéros virgules de ce 12.12.07, qui soutiennent que le choix populaire est versatile et que la population n'a pas le niveau nécessaire pour vivre la démocratie ? Ces interprétations vont dans le sens de l'irrationalité du comportement de l'électorat tananarivien et ce d'autant plus que ce serait assez logique de dire qu'une élection de proximité n'a pas d'enjeu politique national, que les préoccupations locales diffèrent des problèmes publics émergeants et appelés à être inscrits sur l'agenda de responsables nationaux.Et là sera l'objet du présent post : essayer de déceler une rationnalité dans le comportement des électeurs. En cela, nous essaierons de voir du côté de la boîte à outils politologiques pour savoir si un modèle peut-être invoqué car l'une des fonctions d'un modèle (en science économique comme en science politique) est généralement de servir d'intrument pour rendre un événement prédictible. Nous pouvons alors poser en filigrane la question si le séisme était prévisible ou non.
Posted by
Shadow
at
6:00 PM
2
comments
Categories Analysis



